How to : trouver un stage


Certains les ont trouvés, d'autres les cherchent encore; les stages nous mènent la vie dure. Pour valider chaque année, mon école nous oblige à faire des stages et je commence donc à développer des techniques pour obtenir des réponses. Let's go ! 


Étape 1 : harceler 

Elle est connue et pourtant, tout le monde ne l'ose pas ! C'est la technique de base pour se démarquer un peu d'une personne qui n'enverra qu'un e-mail laissera tomber par la suite. N'hésitez pas à harceler de toutes les façons : e-mail, téléphone, ou même si vous le pouvez à vous rendre directement à l'emplacement de l'entreprise tant désirée. 

Si vous pensez que vous passerez pour une psychopathe, vous vous trompez (enfin si, mais ils vous verront également comme une personne extrêmement déterminée, et c'est ça qu'on préfère). Plus sérieusement, en renvoyant plusieurs e-mails j'ai déjà obtenu beaucoup de "merci d'avoir renvoyé un e-mail, j'avais beaucoup de travail et oublié votre demande
Alors, qu'avez-vous à perdre ? 

Étape 2 : demander à l'école s'ils n'ont pas des contacts là-bas

Pour beaucoup, les stages sont des périodes imposées par l'école ou le collège/lycée. N'hésitez pas à demander des contacts aux personnes qui sont susceptibles d'en avoir, elles sont là pour vous aider. De même avec celles de votre entourage. Vous serez surpris de découvrir à quel point le monde est petit et peut, de fil en aiguille, vous mettre en contact avec quelqu'un de l'entreprise chérie. 

Étape 3 : chercher les pages Facebook, Twitter, etc.

Que dire de plus ? 
Retour à l'étape 1 : on harcèle

Étape 4 : chercher ceux qui travaillent dans l'entreprise convoitée sur les réseaux

Un des conseils que je donne le plus à mes amis lorsqu'ils me demandent comment je trouve mes stages : les réseaux sociaux ne servent pas seulement à identifier vos amis sur des publications rigolotes, ils sont aussi des véritables merveilles pour mettre les gens en relation. Servez-vous des outils comme Facebook, Linkedin, Twitter où l'on peut filtrer les recherches par le lieu de travail, un potentiel accès direct dans l'entreprise de notre choix. 

Suite : une fois que vous les avez trouvés, envoyez un petit message leur rappelant subtilement et très gentiment qu'à votre âge ils galèraient aussi, pour réveiller un peu leur empathie (qui sait si un jour vous ne recevrez pas un message de stagiaire désespéré vous aussi !)

Petits conseils en plus : 

Tenter. 
Alors que tout le monde n'a pas peur de sécher les cours, et autres activités qui induisent peu de considération pour les règles de la vie en société, les gens les considèrent en revanche lorsqu'il s'agit de sortir du lot. Ils ont peur d'envoyer un e-mail trop différent des autres, de trop se dévoiler, peur de ne pas sortir du moule "lettre de motivation-CV".
Je ne fais plus de lettre de motivation pour aucun de mes postes, ni pour mes stages. Je trouve cette pratique non-seulement très vieux-jeu, mais aussi inutile. Arrêtez moi si je me trompe, mais votre lettre de motivation commence sûrement par "Actuellement en DUT chèvre et chantier, je suis à la recherche de bla-bla-bla", faux ? Et c'est exactement pour cette raison que je les trouve parfaitement inutiles. 

Alors laissez place à votre créativité et envoyez un joli CV dans un e-mail avec un ton qui vous ressemble et s'accorde avec l'entreprise que vous souhaitez intégrer. Et surtout gardez en tête que si une entreprise refuse votre demande de stage parce que vous avez fait une lettre trop originale, ou qui n'est pças assez sérieuse alors que cette lettre vous correspondait, c'est que ce n'est pas la bonne entreprise pour vous

S'y prendre très tôt. 
Je crois que je ne le répèterais jamais assez à mon entourage tant je trouve ça important : prennez vous y TÔT, mais vraiment vraiment tôt. J'en ferai plus tard un article mais vous ne réalisez pas à quel point le timing joue dans tous les aspects de votre vie

Plusieurs raisons pour lesquelles s'y prendre au moins 9 mois à l'avance peut changer les choses : 

-Si la boîte recoit énormément de demandes de stage, vous n'arriverez pas dans le moment de rush où tout le monde envoie ses demandes, vous aurez donc une réponse plus rapide et très probablement favorable puisque les places ne seront pas prises. C'est souvent le premier arrivé, le premier servi ! 

-Si vous partez dans une autre ville, vous y prendre tôt vous laissera le temps de tout organiser

-Vous aurez énormément de temps pour vous retourner si le stage ne peut pas vous prendre. 

-Vous serez perçu comme quelqu'un de vraiment très organisé et consciencieux


Et toi, comment tu trouves tes stages ?

M.


Cher Instagram, c'est trop

Instagram

Cher Instagram, 

Je te déteste. Je te hais pour tout le temps que tu me fais perdre quand je passe mes journées à scroller ton fil d'actualité. Je te déteste pour ces gens qui prennent leurs plats en photos au lieu de manger en échangeant avec leurs amis. 
Mais il y a pire que ça : je te hais pour toutes ces fois où tu m'as fait complexer alors que je pensais venir chercher de l'inspiration chez toi. Je te déteste pour toutes ces fois où j'ai pensé que ma vie était nulle et insignifiante à côté de celles des autres. Je te hais pour ces fois où j'ai pleuré en me trouvant trop grosse parce que je devenais obsédée par cette culpabilité que tu créais en moi. Je te déteste parce qu'à cause de toi je vois ma meilleure amie être mal, vraiment mal, au point d'être hantée par la moindre chose qu'elle mange. Je te déteste. Je te déteste parce que tu ne dépeinds pas la réalité et que nous sommes trop obnubilées par ces filles sublimes que nous oublions de nous dire qu'elles sont retouchées. Je te hais parce que tu nous forces à leur ressembler et parce que tu conditionnes aussi les hommes à aimer des filles iréelles, des filles tellement minces que nous ne sommes pas. Je te hais parce qu'à cause de toi, des milliers de filles suivent des régimes, des milliers d'autres pleurent à force de restreindre leur alimentation, d'autres sont moquées, insultées, et tu renforces ce fossée qui s'était déjà creusé entre la réalité et les attentes sociales. Je te hais parce que tu accordes encore plus d'importance à cette place que le physique avait déjà dans la société. 

Et pourtant parfois, je t'aime. 
Je t'aime parce que j'adore quand tu me donnes des bonnes recettes. Parce que tu me fais rencontrer des instagrammeuses géniales qui collent à cette réalité, ces femmes que nous sommes vraiment. Parce que tu me permets de voir que, comme nous, les fitgirls en ont marre de culpabiliser à chaque fois qu'elles mangent un repas gras/sucré/salé. Je t'aime parce que tu me fais voyager, qu'avec toi je traverse la France, l'Amérique, l'Asie, en passant par chacunes de ces petites îles un peu oubliées. Je t'aime parce que tu me permets de voir le monde d'une autre façon. Je t'aime parce que j'adore tes citations et que tu me fais croire en l'amour. Je t'aime parce que tu abrites des comptes qui veulent changer les choses (T'as jouiAmours solitaires, et bien d'autres). 

Mais ça ne suffit pas et je sais que j'ai besoin de rester loin de toi. Fais moi plaisir, mentionne les photos retouchées pour toutes ces filles qui souffrent de ces corps parfaits, déculpabilise les, dis leur que ce n'est pas grave de goûter, de manger du beurre au déjeuner, et que ce n'est pas en s'affamant que l'on deviendra cette fille que l'on suit sur Instagram. Parce qu'après tout, qui sait si elle ne s'affame pas elle aussi en pleurant devant les corps d'autres filles encore plus minces qu'elle ? 


Et toi, c'est quoi ta relation avec Insta'?

Et voilà, cet article marque le début d'une longue série d'articles qui arriveront petit à petit, où j'étudierai toute cette pression sociale qui est exercée sur les femmes au niveau du poids, de l'alimentation, du sport. Bien sûr, journaliste oblige, je rendrai ça intéressant et ludique, et surtout intéressant à partager pour peut être (qui sait?) faire avancer les choses.  Parfois j'aurai besoin de votre participation, et ce serait génial si vous choisissez de m'aider. J'espère vous y retrouver ! À très bientôt ! 


M.


Pourquoi devenir intolérante au gluten a changé ma vie

Intolérance gluten

L'intolérance au gluten est un gros problème, et c'est vrai que parfois (surtout quand on rêve d'aller manger cette pizza avec nos amis) elle nous pourrit la vie. Et pourtant, d'une certaine façon, elle peut aussi être bénéfique. Donc pour tous ceux qui pensent que les intolérants sont au bord du suicide et pour toutes les nouvelles recrues intolérantes qui pensent tomber dans une dépression profonde, 5 raisons qui font que, je suis finalement assez contente que le gluten m'ait abandonné. 


On apprend à manger différemment 

Je sais ce que vous devez vous dire : "Elle se rassure comme elle peut", et pourtant je vous garantis que c'est loin d'être le cas. 
Être intolérante au gluten m'a appris à revoir les aliments que je mangeais, notamment le matin où le petit déjeuner français est composé de pain ou de tartines, de céréales, ou encore de vienoiseries. Par la force des choses, j'ai commencé à comprendre ce que je pouvais cuisiner et ce que j'allais tout simplement arrêter de manger, car tout remplacer par la version "sans gluten" n'est pas la meilleure alternative, surtout lorsque l'on regarde de plus près les compositions de ces produits. 
J'ai donc trocqué le petit déjeuner "français" par des oeufs, du jambon, du granola fait maison, du yaourt, et beaucoup d'autres choses. 

Cela dit, mon gros gros coup de coeur reste les céréales Vitabella aux céréales multigraines sans gluten (la compo est assez clean), je suis incapable de m'en passer ! 

Le gain d'énergie 

Par la force des choses, lorsque l'on retire le pain, les pâtes et autres substances qui se trouvent majoritairement dans les mets sucrés et/ou transformés, on mange plus sain et l'énergie va avec. Manger des légumes, des fruits, de la viande et du poisson, des oléagineux, des céréales, vous apportera beaucoup plus d'énergie et vous permettra aussi de ne pas avoir faim à 18h car votre organisme aura digéré les glucides contenus dans les pâtes trop rapidement. Les ballonements d'après repas aussi ont totalement disparus, et qui dit bonne digestion, dit moins de fatigue

Les compétences culinaires

Ce que l'on comprend assez rapidement lorsqu'on devient intolérant au gluten, c'est qu'il va falloir cuisiner. Une bonne chose pour ceux qui sont déjà accro aux fourneaux mais ce n'était absolument pas mon cas. Étant étudiante, j'aimais manger des choses simples, et ne pas m'embêter à faire des recettes par manque de temps
Seulement voilà, j'ai donc commencé à chercher des recettes simples (pancakes, crêpes, repas sans gluten...) Je dois avouer que j'y ai finalement pris goût et que faire un bon repas  est quelque chose de vraiment satisfaisant. 

intolérance gluten

Le tri dans les amis 

Les intolérants le savent, beaucoup de personnes nous trouvent très compliqués, voire totalement chiants. Comme si la nature nous avait laissé le choix, elles se disent que partager un repas avec nous est devenu trop contraignant et évitent de nous inviter. 
Et oui, le gluten dévoile aussi les amis qui accepteraient soit disant "n'importe quoi" pour leurs copains. 

La meilleure organisation des repas


Enfin, une des choses que j'ai mise en place et qui m'apporte non seulement une vue globale sur mes repas mais également une meilleure gestion de mon temps et de mon argent : le planning des repas. Idéal si vous voulez organiser vos jours de sortie, prévoir vos recettes avant et par conséquent, ne prendre que le nécessaire en faisant les courses

Et toi, t'es intolérant/allergique à quoi?

M.


Les projets de vie


"Tu verras ça te fera vraiment bizarre quand tu réaliseras que tout ce que tu t'étais toujours imaginé, ne fait plus partie de tes attentes aujourd'hui", m'avait raconté une personne de mon entourage. Je suis restée dubitative et me suis dit qu'elle n'avait peut être pas trouvé quelque chose qui lui convenait et que ce serait très certainement différent pour moi. 

Amsterdam : plus que l'herbe, l'écologie

Faire du vélo est entré dans les moeurs de la ville. 
Amsterdam, capitale de l'écologie ? Et bien oui ! Après y avoir passé une semaine, je peux en attester. Très connue pour ses drogues et son quartier rouge, elle est aussi très portée sur l'environnement. Grâce à la technologie, elle protège la nature et facilite par la même occasion la vie de ses habitants. 


Une "smart-ville"

La ville est à l'initiative de beaucoup d'actions concernant l'environnement. Tout d'abord la plus célèbre : les vélos. Comme tout le monde le sait, se balader dans Amsterdam à pied relève du défi pour ne pas se faire renverser par un d'entre eux. Alors que le projet a été un franc succès, la commune ne s'arrête pas là. "Nous allons aussi mettre en place un serveur permettant aux particuliers de sous-louer leur vélo quand ils n'en ont pas l'usage" avaient-ils confié à Télérama. "Mise à disposition et réservation se feront grâce à une application pour smartphone ou par le biais de panneaux interactifs à travers la ville."

Parmi les autres initiatives : des conteneurs favorisants le tri sélectif, des réverbères qui adaptent la luminosité en prenant en compte des paramètres comme le trafic. Une action ayant permis d'économiser l'équivalent de la consommation de 3000 familles, d'après Télérama. 
Il est facile de remarquer qu'il n'y a quasiment aucun bouchon à Amsterdam. Tout d'abord car la plupart des trajets se font de ce fait, à vélo. Deuxièmement car la ville privilégie le télé-travail pour limiter les trajets. Et pour finir, parce qu'elle régule le trafic en transmettant les informations utiles à la conduite des citoyens en temps réel. L'automobiliste saura ainsi s'il peut aller à 100 km/h sur cette route ou au contraire ralentir car le trafic est dense. 

Enfin, quelque chose que l'on remarque très facilement en arrivant à Dam' : l'éco-tourisme. Vous pourrez par exemple, aller faire une balade en pédalo ou en bateau électrique sur les canaux de la ville. 


Made by Amsterdamois

Mais la commune n'est pas la seule à s'investir dans le développement durable, les habitants mettent aussi la main à la pâte. Durant mon voyage j'ai pu me rendre compte de diverses actions initiées par certains d'entre eux. Par exemple, des petits groupes, rassemblés dans des barques, ramassaient les déchets flottants dans les canaux de la ville. 

Contrairement à la France, les voitures électriques sont quant à elles beaucoup plus démocratisées. Des bornes sont disponibles un peu partout et elles sont très faciles d'utilisation. Une réussite écologique pour la ville qui compte déjà très peu d'automobiles à moteur thermique. 

Pour résumer, Amsterdam n'est pas une ville naturelle seulement grâce à son herbe ! 


À bientôt ! 
M.


École de journalisme : mon avis un an après


Ça y est, j'ai validé ma première année ! Qui dit école dit immersion dans le milieu, et qui dit immersion, dit avis ! J'ai connu énormément de hauts et de bas cette année dans mes études, des périodes de remise en question ou à l'inverse, de totale adéquation avec moi-même. 
Je ne parlerai pas au nom de mon école car j'ai ouï dire que tout cela était sensiblement pareil quelle que soit l'école. 

L'hypocrisie du milieu


LE plus gros point et pas des moindres puisqu'il est à l'origine de certains problèmes de santé que j'ai aujourd'hui. Le journalisme comme on le sait, est un métier de contact, de sociabilité, d'image et... de réputation. Cette même réputation qui poussera nombreux d'entre nous à cacher leurs faits et gestes. "Tu verras, tout le monde fait attention à ce qu'il ou elle renvoie, tu auras l'impression de connaître tout le monde, tout en ne connaissant réellement personne", qu'il m'avait dit. Et je dois tristement avouer que tout cela est vrai. 
Bien sûr tous les journalistes ne sont pas comme ça. Je suis dans une école assez sportive puisque la grande majorité rêve de finir commentateur sportif ou de décrocher un job à l'Olympique de Marseille. Je suis consciente du fait que le milieu du foot est particulier, mais cette hypocrisie n'existe malheureusement pas qu'à Marseille. 

La passion pour l'écriture

Heureusement, l'école nous demande de réaliser des périodes de stage. Même s'ils restent très compliqués à trouver -surtout en première année, ils nous permettent de voir le journalisme d'une manière totalement différente. À la fin de l'année, après mes partiels, j'ai beaucoup remis en question mon orientation car l'écriture qui jusque là était une passion, avait fini par devenir une corvée. Jusqu'à ce que je fasse un stage et réalise le décalage entre le travail demandé à l'école, la pression que l'on nous met pour écrire dans les règles, et ce qui est en réalité publié par les médias. 
J'ai réellement repris goût à l'écriture, aux tournures de phrase, et tout m'a paru plus simple. 

Ce qui nous amène au troisième point. 

Le formatage en école

"Ils te demanderont d'écrire une bouse collective, fais le. Mais en dehors de l'école, éclate toi et fait ce qui te ressemble. Crois moi, les rédactions n'attendront pas de toi d'écrire comme on vous l'aura tous appris." m'expliquait L., ancien journaliste chez TF1, lors de mon stage. Si ses paroles m'ont beaucoup aidées, elles m'ont également faites réfléchir. 

Pourquoi notre écriture est-elle aussi "formatée" en école ? Le journaliste François Ruffin écrivait il y a quelques années un livre "Les petits soldats du journalisme" qui traitait ce sujet. Il y dénonçait le formatage du style, l'écriture AFP, et tant d'autres choses que je ne supportais pas cette année (malgré que je sois encore loin de tout connaître) 

"N'écris pas comme ça", "Ce mot.. c'est trop compliqué pour monsieur tout-le-monde", "Qui parle comme ça dans la vie quotidienne ?". L'école nous impose un cadre strict. Au-delà de la méthodologie, on nous impose un style, une manière de trouver les angles les plus souvent choisis sans sortir des sentiers battus, de suivre le mouvement. Si en commençant ma première année de journalisme je n'accordais pas tellement d'importance à ce que j'écrivais et si le livre de François Ruffin ne me paraissait n'être qu'une réalité dans une seule école ; aujourd'hui tout cela a bien changé.

Un métier en mouvement

Parce qu'il n'y a évidemment pas que des points négatifs, j'ai aussi réalisé à quel point le journalisme était un métier qui bougeait. Tant au niveau de l'évolution du milieu que des voyages et des sorties. Je suis tombée totalement amoureuse du mode de travail, de la liberté de mouvement pour réaliser les papiers (articles). Le journalisme permet d'être perpétuellement dans l'apprentissage de nouvelles choses, et c'est ce qui me fascine. 

Des rencontres permanentes 

Enfin, j'ai rencontré énormément de personnes géniales, autant que de journalistes hypocrites, comme on s'en doute. Des gens adorables qui m'ont énormément conseillés et ont fait évoluer ma façon de voir les choses sur le métier, l'école, mon écriture, etc. Comme partout, vous rencontrerez des personnes géniales qui vous apporteront énormément, et d'autres qui tenteront de vous faire plonger. 


N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !
M.

J'ai testé pour vous : Le Delta Festival à Marseille

photo d'illustration
Le 7 juillet je testais le Delta Festival sur les plages du Prado à Marseille
Magique. Je ne vois pas comment mieux définir le Delta Festival où j'étais invitée samedi grâce à La Provence. Animations, musique, food trucks étaient au rendez-vous pour faire de ce week-end un moment inoubliable. 

J'ai donc testé la plus grosse journée : le samedi. Pour commencer, j'ai fait le tour du parc afin de repérer les villages les plus intéressants. À savoir que le festival compte 5 villages : animations, innovations, développement durable, artistique et sportif. L'entrée ayant ouvert à midi, j'ai opté pour la nourriture avant toute chose. 
Là, le choix était aussi très vaste : thaïlandais, churros, crêpes, français, américain, vietnamiens, italiens... J'ai finalement testé le vietnamien et les churros. (La culpabilité ? Connais pas) 

Côté animations, le festival proposait toute sortes de jeux gonflables, body-painting ou encore de jeux vidéos. J'ai tout simplement adoré. 

Enfin, la partie la plus attendue : la musique. Étaient présents au festival : Feder, Offenbach, Bakermatt, Caballero & Jeanjass (qui n'ont malheureusement fait qu'une très courte apparition due à des problèmes techniques) et bien d'autres. Je suis personnellement allée voir ces quatre là et c'était tout simplement génial. 

Le Delta était le premier festival de ma vie, je n'ai donc pas encore d'élément de comparaison mais les DJ ont réellement tout donné. Moi qui m'attendait à de l'électro un peu agressif, j'ai vraiment été surprise de retrouver plusieurs chansons très connues comme "One day" de Bakermatt, qui s'accorde parfaitement avec l'ambiance estivale. 

Je vous recommande 1000 fois ce festival, et je le referai très certainement l'an prochain. 
(Je ne vous ai pas parlé du village artistique où il était possible de se marier, se faire tatouer, se faire coiffer et maquiller, ou encore du village développement durable et des animations aquatiques au bord de la mer parce que je n'ai pas eu le temps de les tester, mais les retours que j'ai eu étaient très bons) 

Vous l'avez testé ? 
M.